Pendant que les milices proches de Laurent Gbagbo sévissent à Abidjan, les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) peinent à se déployer dans toutes les communes.
La présence des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) à Abidjan avait suscité un réel espoir auprès de la population. Ces derniers temps, l’inquiétude et le désespoir commencent à gagner les habitants de certaines communes, notamment ceux de la zone sud de la capitale économique. La raison : les éléments du Frci ne s’y sont toujours pas signalées. Cette absence des forces proches de Ouattara serait cependant compensée par la présence des éléments du commando invisible qui aurait pour parrain, Ibrahim Coulibaly. Ces combattants plus ou moins armés, font en ce moment la pluie et le beau temps dans les communes de Koumassi Marcory Treichville etc encore sous leur contrôle. Un habitant de Treichville dénonce cependant que les éléments de cette force font parfois du zèle sur le terrain. « Les éléments du commando invisible assurent la sécurité à Treichville, soutient cet habitant. Mais, certains d’entre eux abusent des populations comme s’ils étaient des agents des Frci ». La présence du commando invisible est vraiment source de polémique dans les quartiers où il est représenté. C’est d’ailleurs le cas à Koumassi où un autre habitant affirme que cette force commence à montrer ces limites. « Malgré la présence du commando invisible, les exactions continuent à Koumassi. Les milices proches de Gbagbo sévissent impunément. Des individus ont été froidement abattus dans la nuit de vendredi à aujourd’hui à la Sicogi. Notre grand souhait est, le déploiement rapide des éléments des Frci dans la commune. Sinon les hommes de Gbagbo vont nous finir», a expliqué cet habitant du nom de Issiaka. Vrai ou faux ! Dans tous les cas, le Frci semble toujours bloqué dans la partie nord d’Abidjan où, selon des témoins sa cohabitation avec le commando invisible pose souvent problème. Selon nos sources des affrontements auraient éclaté entre ces
deux forces dans la nuit de vendredi dans la commune d’Abobo où des combattants auraient trouvé la mort dans les deux camps. Pour l’heure, un mystère plane sur les raisons des affrontements de ce vendredi.
La présence des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) à Abidjan avait suscité un réel espoir auprès de la population. Ces derniers temps, l’inquiétude et le désespoir commencent à gagner les habitants de certaines communes, notamment ceux de la zone sud de la capitale économique. La raison : les éléments du Frci ne s’y sont toujours pas signalées. Cette absence des forces proches de Ouattara serait cependant compensée par la présence des éléments du commando invisible qui aurait pour parrain, Ibrahim Coulibaly. Ces combattants plus ou moins armés, font en ce moment la pluie et le beau temps dans les communes de Koumassi Marcory Treichville etc encore sous leur contrôle. Un habitant de Treichville dénonce cependant que les éléments de cette force font parfois du zèle sur le terrain. « Les éléments du commando invisible assurent la sécurité à Treichville, soutient cet habitant. Mais, certains d’entre eux abusent des populations comme s’ils étaient des agents des Frci ». La présence du commando invisible est vraiment source de polémique dans les quartiers où il est représenté. C’est d’ailleurs le cas à Koumassi où un autre habitant affirme que cette force commence à montrer ces limites. « Malgré la présence du commando invisible, les exactions continuent à Koumassi. Les milices proches de Gbagbo sévissent impunément. Des individus ont été froidement abattus dans la nuit de vendredi à aujourd’hui à la Sicogi. Notre grand souhait est, le déploiement rapide des éléments des Frci dans la commune. Sinon les hommes de Gbagbo vont nous finir», a expliqué cet habitant du nom de Issiaka. Vrai ou faux ! Dans tous les cas, le Frci semble toujours bloqué dans la partie nord d’Abidjan où, selon des témoins sa cohabitation avec le commando invisible pose souvent problème. Selon nos sources des affrontements auraient éclaté entre ces
deux forces dans la nuit de vendredi dans la commune d’Abobo où des combattants auraient trouvé la mort dans les deux camps. Pour l’heure, un mystère plane sur les raisons des affrontements de ce vendredi.
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