La police marocaine dispose d'un portrait robot de l'auteur présumé de l’attentat de Marrakech. Les derniers éléments de l'enquête laissent penser que la bombe a été déclenchée à distance. Un engin explosif composé notamment de nitrate d'ammonium et de clous. Quatorze personnes sont toujours hospitalisées à Marrakech tandis que le processus d’identification des victimes est toujours en cours.
Le processus d’identification est laborieux, d’abord, parce que l’explosion de la bombe a été très violente. Les corps ont été particulièrement abîmés par cette bombe composée entre autre de clous. A la morgue de Marrakech, plus d’une vingtaine de policiers sont à pied d’œuvre pour identifier les corps. La France et deux autres pays ont envoyé des renforts pour aider les autorités marocaines.
Ensuite, interviennent des difficultés administratives. Il est très compliqué de confirmer l’identité d’une personne, quand elle n’a pas de papier d’identité sur elle, et qu’il n’y a pas de membre de la famille sur place pour reconnaître le corps.
Un bilan susceptible d'évoluer
Enfin, les autorités respectives sont très prudentes avant de confirmer la nationalité d’un corps. Car une personne morte dans un attentat a droit à des réparations de l’Etat concerné. Le bilan est donc malheureusement toujours susceptible d’évoluer.
Dans l’après-midi du 29 avril, une jeune française est décédée à l’hôpital. Dans la matinée, c’est une petite fille de dix ans qui a succombé à ses blessures. A l'heure actuelle, vingt-neuf personnes sont blessées, dont au moins quatre français dans un état instable. Le bilan s'établit pour le moment à 16 morts dont au moins 11 étrangers.
Le processus d’identification est laborieux, d’abord, parce que l’explosion de la bombe a été très violente. Les corps ont été particulièrement abîmés par cette bombe composée entre autre de clous. A la morgue de Marrakech, plus d’une vingtaine de policiers sont à pied d’œuvre pour identifier les corps. La France et deux autres pays ont envoyé des renforts pour aider les autorités marocaines.
Ensuite, interviennent des difficultés administratives. Il est très compliqué de confirmer l’identité d’une personne, quand elle n’a pas de papier d’identité sur elle, et qu’il n’y a pas de membre de la famille sur place pour reconnaître le corps.
Un bilan susceptible d'évoluer
Enfin, les autorités respectives sont très prudentes avant de confirmer la nationalité d’un corps. Car une personne morte dans un attentat a droit à des réparations de l’Etat concerné. Le bilan est donc malheureusement toujours susceptible d’évoluer.
Dans l’après-midi du 29 avril, une jeune française est décédée à l’hôpital. Dans la matinée, c’est une petite fille de dix ans qui a succombé à ses blessures. A l'heure actuelle, vingt-neuf personnes sont blessées, dont au moins quatre français dans un état instable. Le bilan s'établit pour le moment à 16 morts dont au moins 11 étrangers.
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